hallo,
heute beim online-lesen der presse-titel bin ich auf folgende meldung gestolpert. ich musste an unseren grossen analytiker afulki denken.
für die, die frz. nicht verstehen, heisst es unten in kurzer form, dass die usa clint williamson nach algerien versandt haben, um zwei positionen amerikas zu erläutern, die algerien irritiert hätten. zwei wichtige themen würden zur zeit die beziehungen zwischen den usa und algerien bestimmen, die frage des terrorismus und der saharakonflikt.
diese meldung kommt von der algerischen presse und nicht von "naiven" und "kindischen" marokkanischen stellen.
zieht man die priorität der frage des terrorismus ab, da sie hier - wie in meldung - durch die aktualität und die anschläge des 11 aprils diktiert wird, bleibt der saharakonflikt die zentrale frage, die algerien mit der höchsten priorität behandelt.
mit dem vertreter des amerikanischen aussenministeriums hätte algerien eine grosse reihe von themen diksutiern können, die im interesse des algerischen volks liegen oder zumindestens im einklang mit den behautpungen der eigenen poltik wären (etwa die probleme der menschenrechte und der selbstbestimmung der völker in palestina und tschetschenien etc.).
doch, während sie international posaunen, sie hätten mit dem saharakonflikt nichts zu tun, investieren die algerischen generäle alle kräfte des landes und setzen selbst ihre beziehungen mit einer mächtigen macht aufs spiel für die sahara.
das hier ist nur ein kleines, micro-beispiel, warum der konflikt nicht zwischen marokko und polisario, sondern in wirklichkeit zwischen marokko und algerien ist.
das wissen ausser den naiven alle interessierten menschen, sowie alle akterue der internationalen beziehungen.
by the way clint williamson soll eine verbale botschaft von condoleza rice an die algerier vermittelt haben, vielleicht heisst es eben, sie sollten nun endlich ihre sturrheit aufgeben und dem marokkanischen lösungsvorschlag nicht im wege stehen...
jm
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Les Etats-Unis ont envoyé Clint Williamson en Algérie pour tenter d’expliquer la position américaine sur deux dossiers qui ont irrité Alger.
dimanche 22 avril 2007.
Clint Williamson a remis une lettre de Condoleezza Rice à M. Bedjaoui. Au cours de l’entretien, le chef de la diplomatie algérienne a rappelé "les exigences de la lutte contre le terrorisme et a fait état des sacrifices de l’Algérie dans sa lutte pionnière contre ce fléau. Il a également communiqué à Clint Williamson "un message verbal sur le Sahara occidental à Mme Rice". Il faut savoir que la visite de Williamson, procureur fédéral de carrière, et qui sert d’ambassadeur itinérant pour des questions de crimes de guerre, un poste auquel il a été confirmé par le Sénat le 29 juin 2006, était déjà prévue pour le début de l’année en cours. Ce déplacement avait été donc reporté une première fois. Williamson, connu pour être "Monsieur Guantanamo" au sein du département d’État, arrive en Algérie dans un contexte très particulier.
Deux importants dossiers dominent actuellement les relations algéro-américaines. Le premier étant les répercussions des attentats du 11 avril à Alger [...].
Le second volet étant bien entendu le dossier du Sahara occidental. Il faut savoir que depuis la sortie de William Burns, l’on s’interroge à Alger sur la position réelle du département d’État US incarnée par Condoleezza Rice qui, jusqu’à récemment, était considérée à Alger comme "impartiale" sur ce dossier, "Condi" n’étant pas publiquement favorable au Maroc, mais n’encourageant pas pour autant le processus de décolonisation engagé sous l’égide des Nations unies. Plusieurs indicateurs ont fait craindre aux diplomates algériens que les Américains aient choisi le projet d’autonomie marocain. Compte tenu des inquiétudes algériennes sur ce dossier, la rencontre d’hier entre Bedjaoui et Clint Williamson pouvait contribuer à recadrer les relations stratégiques algéro-américaines. Du coup, la visite de Williamson paraît dans ce contexte diplomatique comme assez importante. Elle tombe à pic dans une atmosphère assez tendue entre Algériens et Américains.
Synthèse de Rayane,
www.algerie-dz.com D’après Liberté
