Guten Abend,

@ jm
 Antwort auf:
tatsache ist, daß diese urbanen megazentren wie paris und madrid, nicht nur einen beträchtlichen teil der bevölkerung beherbergen, sondern auch die kulturellen und gesellschaftlichen impulse für die gesellschaft insgesamt geben
Paris zeigt eine starke soziale Segregation durch die Präferenz der maghrebinischen Zuwanderer
in bestimmte Quartiers. Und wie das soziale Zusammenleben dort aussieht - speziell für die marokkanischen Frauen - beschrieb Aicha Zaimi Sakhri recht anschaulich in ihrem redaktionellen Beitrag "Vivre dans n espace public mixte et coloré", erschienen in der November-Ausgabe FDM.

Auszugsweise:
Dans ce pays, la condition des femmes dans les quartiers dits “sensibles” est très difficile. Les quartiers dits sensibles sont les quartiers à dominante maghrébine. La violence verbale, sexuelle est instituée et banalisée. La seule loi qui existe dans ces territoires oubliés par la France est celle du plus fort. Les femmes sont tiraillées entre deux servitudes, obéir en se cloîtrant chez elles et en se voilant la tête pour sortir ou bien sortir habillées normalement et subir le harcèlement des bandes. En d’autres termes, soit elles sont soumises, soit elles deviennent aux yeux des autres des filles faciles avec qui on peut tout se permettre.
Cette condition vécue dans les ghettos français n’a rien à envier à celle que vivent de nombreuses femmes proches de nous. Toutes celles qui pour se rendre sur leur lieu de travail, à pied ou dans les transports en commun, doivent affronter “le tribunal social”. La prolifération du port du voile dans nos quartiers populaires n’est pas étrangère à cette peur d’affronter un espace public hostile à la mixité en général, et donc aux femmes en particulier.


http://www.femmesdumaroc.com/Rubriques/Edito/Vivredansunespacepublicmixteetcolore

Wenn ich mir nur mal die Aussage ansehe "In diesen Bezirken, vergessen von Frankreich , gilt nur ein Recht, das Recht des Stärkeren", dann frage ich mich schon, welche sozial(räumliche) Integration dort stattgefunden hat.
Am sprachlichen Problem kann es ja nicht liegen!

Ich kann mir nicht vorstellen, dass derartige maghrebinische Ghettos hier in Deutschland existieren. Vielleicht bin ich auch nur weltfremd, ich lasse mich aber gerne aufklären.