mehr zum them:

algerien hat mit dem konflikt nichts zu tun, aber seine presse läuft auf hochtouren, seine zeitungen berichten mehr über die saharafrage als die marokkanischen medien und seine politiker geben interviews und äussern sich wie zu keiner anderen nationalfrage.

aktuell, da ban ki-moon seinen bericht gereicht hat und der uno-sicherheitsrat sich bald über die frage äussern wird, ist es das thema nummer eins für algeriens politker und medien, mehr als der terrorismus im eigenen lande!

im kampf gegen marokko setzen sie alles (ich unterstreiche alles) ein!

warum lässt algerien den konflikt nicht zwischen marokko und der polisario sein? weil der konflikt zwischen marokko und algerien und nicht zwischen marokko und der polisario ist.

sonst muss man afulki fragen, er hat vielleicht eine andere erklärung und beweist uns wie nobel die algerischen militärs sind.

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La position de l’Algérie vis-à-vis du conflit entre le Maroc et le Front Polisario a été au coeur de l’entretien qu’a accordé Abdelkader Messahel à El Khabar.
lundi 23 avril 2007.

A la question de savoir son évaluation du rapport du secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon paru depuis quelques jours sur le conflit du Sahara occidental, le ministre délégué aux affaires africaines et maghrébines, a indiqué : "Je pense que la recommandation n° 47 incluse dans le rapport, et qui évoque des négociations entre les deux parties en conflit et le principe d’autodétermination au Sahara occidental, constitue un point de départ pour une solution véritable et juste à la question, ce qui ne représente pas la position de l’Algérie mais celle des Nations unies. Le rapport s’appui sur trois propositions très importantes, la première est la tenue de négociations directes entre le Maroc et le Front Polisario sans préavis, la seconde consiste à résoudre le conflit de minière à ce qu’il soit accepté par tous, et la troisième stipule que les négociations se tiennent afin de préparer l’autodétermination."

Messahel a ajouté : "Le rapport demande à l’Algérie et à la Maurétanie d’être des partenaires lors des négociations, suivant le cadre où elles ont eu lieu en 1996 sous le patronage de James Baker. Ici le rôle de l’Algérie est apparent dans la question du retour des réfugiés qui atteignent 160 000 personnes établies dans les campements de Tindouf. Mais le rapport n’a pas été totalement approuvé par certaines grandes puissances dont les voix pèseront lors du vote sur le rapport le 27 avril prochain. Après la parution du rapport, il s’est avéré que la France et les Etats-Unis ont adopté une position alignée sur la proposition du Maroc, par la voix de responsables du palais de l’Elysée et du Quai d’Orsay (France) et du secrétariat d’Etat américain aux affaires étrangères."

Il a conclu en affiant que "l’Algérie rappelle à ces deux pays qu’ils sont responsables de la préservation de la sécurité dans le monde, et il est étrange que les déclarations des responsables de ces deux pays sortent de la légitimité internationale, c’est pourquoi nous leur demandons de jouer leur rôle en tant que deux pays qui oeuvrent au respect des chartes des Nations unies, vu qu’ils sont deux membres permanents du Conseil de sécurité, qui a, à plusieurs reprises, appelé au respect du principe d’autodétermination dans le Sahara occidental. Pour nous, la question du Sahara occidental est une affaire de décolonisation dans cette partie du monde et pas une affaire d’autonomie comme le prétend le Maroc. Elle est inscrite à l’agenda des Nations Unies comme une question de décolonisation. Quant à la situation finale des territoires sahraouis, c’est au peuple sahraoui d’en décider à travers un référendum d’autodétermination."

Synthèse de Kahina, www.algerie-dz.com
D’après El Khabar
http://www.algerie-dz.com/article9339.html