mit dem Bus nach marokko!!
#7018
15/05/04 12:23 AM
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Fauzia
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hallo kann mir einer einen Tip gebe.undzwarmöchte ich mit dem bus nach Marokko fahren und ich würde mir gerne im Internet was anschauen.kennt ihr gute seiten wo man eventuell auch buchen kann oder so.ich spreche aber nur von den bussen die 24 stunden brauchen bis nach marokko.danke im vorraus.
Eure Fauzia !!! ;-)
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Re: mit dem Bus nach marokko!!
#7020
15/05/04 02:49 PM
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Fauzia
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also ich weii dass es ihn gibt,meine tante und onkel fahren jedes jahr damit ok?
Eure Fauzia !!! ;-)
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Re: mit dem Bus nach marokko!!
#7023
17/05/04 02:11 AM
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Farnmausi
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..ach ...und warum fragst Du nicht Tante und Onkel? Staunende Grüßele Farnmausi
Träume nicht vom Leben, lebe Deinen Traum
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Re: mit dem Bus nach marokko!!
#7026
17/05/04 08:46 PM
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Fauzia
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also ich hab mih nochmal erkunigt,also 24 stimmt wirklich nicht,aber 3 tage sind auch übertrieben.es gibt busse die 30 stunden brauchen.also 3 tag sind übertrieben.
Eure Fauzia !!! ;-)
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Re: mit dem Bus nach marokko!!
#7028
18/05/04 08:00 AM
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Keela
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Hallo Fauzia, könnten das u.U. immer noch marokkanische Zeitangaben sein? Meine Fahrt mit dem Bus war (allerdings vor Jahren) von Ageciras aus mit 39 Stunden angesetzt ....und hat dann 43 gedauert. Seitdem fliege ich nur noch So auch jetzt. Verabschiede mich für vier Wochen und wünsche allen hier eine gute Zeit und ein tolles Forumstreffen!! Alles Liebein alle Welt Keela
Ich bin nicht dumm, ich hab' nur voll so Pech beim Denken...
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Re: mit dem Bus nach marokko!!
#7030
19/05/04 08:19 AM
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Dennis1973
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Hallo Fauzia,
ich selbst bin Busfahrer und war auch schon mit dem Mehrmals in Spanien Italien etc.
Selbst wenn ich meine Tour etwas vorrausberechnete um zu wissen, wo ich ungefähr Pause machen kann, muß ALLES glatt laufen, um einen Schnitt von 95km/h zu erreichen und das sind Traumwerte.
Um also 3000km zurückzulegen braucht man mehr als 30h, denn alleine die (min. zwei) Tankpausen brauchen 15-30min. !!!
gruß dennis
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Re: mit dem Bus nach marokko!!
#7031
20/05/04 05:17 PM
20/05/04 05:17 PM
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Fauzia
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meine güte.also ich weiss nicht mehr wem ih gluben soll.in belgien sagen sie es gibt diese schnellen busse,mit mehreren fahren und so.die brauchen ganz wenig.also ok,dann mal eine andere frage,wie lange fahren die schnellsten busse so im schnitt?
Eure Fauzia !!! ;-)
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Re: mit dem Bus nach marokko!!
#7032
08/07/04 05:31 PM
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Joined: Sep 2003
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Helias
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Hier ein Bericht aus der aktuellen Ausgabe des Wirtschaftsblatts "L´Economiste" über die unerfreulichen Erlebnisse einer Gruppe marokk. Heimaturlauber auf einer "Pleiten, Pech u. Pannen"- Busfahrt von Düsseldorf nach Casa. Abgesehen von der gelinde gesagt schlechten Organisation - der Busfahrer scheint ein ziemlicher Gauner gewesen zu sein. Im Text ist von einer Reiseagentur "Allich" die Rede.
Le calvaire des voyageurs de retour au bled
· L’autocar changé trois fois pour un voyage Düsseldorf-Casa
· Les passagers largués finalement à Tanger, et en dehors de la gare
· Des accidents comme celui de Poitiers s’expliquent avec une telle anarchie
Düsseldorf, il était 8h30 ce jour de juillet. A côté du bahnhof (la gare ferroviaire), les derniers adieux animent la place. L’agence de voyages Allich accueille ses clients, presque tous des MRE retournant au bled. Les voyageurs effectuent la pesée de leurs bagages. Un autocar à deux niveaux les attend. L’Haj, un employé de l’agence, rassure: «Inchallah, le voyage sera direct jusqu’à Casablanca». Les voyageurs commencent à charger eux-mêmes leurs sacs, valises et cartons dans la soute à bagages du premier niveau. Cela est fait un peu n’importe comment. Les passagers feront le voyage au deuxième niveau. Un premier regard sur l’état délabré des sièges peu confortables annonce déjà la couleur: le voyage sera pénible. Après quelques heures de route, la première surprise! Malgré les promesses de l’Haj, les voyageurs sont invités à changer d’autocar à Bruxelles. Dégoûtés par l’inconfort des sièges, des passagers sont contents de ce changement. D’autres l’interprètent comme un mauvais signe. En effet, à partir de Bruxelles, les ennuis commencent. Près de «La gare du Midi», un autre autocar à moitié plein de passagers en provenance de Rotterdam, attend. Les voyageurs procèdent encore une fois au débarquement-embarquement de leurs bagages dans la soute du second véhicule, stationné à trois cents mètres plus loin. Ceux qui ont plusieurs valises ne savent plus où donner de la tête. Après plusieurs allers-retours, ils réussissent tant bien que mal à rentrer leurs bagages. Les places n’étant pas numérotées, les passagers en provenance de Düsseldorf doivent se contenter des sièges vacants. Se sentant lésés, certains perdent leur sang-froid. La soute est pleine à craquer. Après les dernières formalités, l’autocar reprend la route en début d’après-midi. A bord, deux personnes mettent de l’ordre. Mohamed, un grand à l’accent rifain, fixe les gens d’un regard menaçant. Il les traite avec mépris. Saïd, plus jeune et plus diplomate, se montre plus aimable. Deux chauffeurs espagnols se relaient. Lassés, les passagers ne font aucun cas du ton provocateur de Mohamed. A n’importe quelle demande des voyageurs, Mohamed se met en colère en priant Dieu que ce voyage se déroule dans de bonnes conditions. Profitant de la bonté et la naïveté de certains passagers, Saïd leur demande de l’argent pour les frais médicaux de sa mère malade. Certains constatent la tentative d’arnaque pure et dure. D’autres, dans un élan de solidarité, mettent la main à la poche pour aider cet employé de l’entreprise de transport. Mais attention! Saïd n’accepte que des euros… No comment! Les panneaux annoncent l’Espagne. C’est le deuxième jour de voyage. A bord, la même ambiance règne: d’un côté les propos provocateurs de Mohamed et de l’autre, les demandes d’argent persistantes de Saïd.
Les passagers somnolaient tout le temps. Vers midi, le car conduit par l’un des chauffeurs espagnols s’arrête devant un restaurant. Saïd annonce aux voyageurs qu’il s’agit d’un arrêt de quelques minutes, le temps de récupérer un passager. «Le prochain arrêt est prévu à côté d’un restaurant marocain qui sert de la nourriture hallal», dit-il pour les calmer. Les deux chauffeurs espagnols ne sont plus là. La chaleur est torride. Près de deux heures d’attente sous un soleil brûlant avant que les chauffeurs ne reviennent et c’est le départ. A l’approche d’Algésiras, et après la première cagnotte ramassée la veille, Saïd récidive. Il organise une seconde collecte. Cette fois, c’est pour la douane. «Je veux vous éviter de perdre du temps et ne pas avoir d’ennuis. Il faut donc cotiser. L’argent collecté sera versé à des douaniers que nous connaissons bien. Pour ceux qui l’ignorent, je leur assure que c’est monnaie courante. Je vous préviens, ceux qui ne donneront rien, seront aux premières loges pour la fouille», explique Saïd qui change subitement de ton. Il devient même menaçant. L’autocar arrive à Algesiras. Il est minuit. L’activité au port est toujours animée et le dernier bateau est déjà parti. Il faut attendre le matin. «Tout le monde descend. Que personne ne reste dans l’auto se plient aux ordres. Un couple se rebelle tellement il en a marre. Mais c’est peine perdue. Tout le monde passe la nuit à la belle étoile. Allongés à même le sol, certains essayent de trouver le sommeil malgré le sentiment d’insécurité ressenti, sans parler des piqûres de moustiques. Des habitués utilisent leur sac de couchage. Heureusement, l’air est doux. Le staff dort bien sûr dans l’autocar. A l’aube du troisième jour, la traversée se fait en une heure à bord d’un «ferry». Certains en profitent pour faire un brin de toilette. Arrivée à Ceuta à 5h du matin. A la frontière marocaine, l’argent collecté par Saïd n’aura servi à rien. Les douaniers demandent de descendre les bagages. Sous le regard attentif des voyageurs, un agent procède à fouille de quelques sacs sans grande conviction. Cela prend beaucoup moins de temps que leur remise en place. Seul moment de détente, lors de ce premier contact avec le sol marocain, un vendeur ambulant de thé à la menthe et de «msemmen»: la collation coûte un euro. Après le passage de la Douane, l’autocar poursuit son chemin. Les voyageurs ignorent tout du trajet. Toute question sur l’itinéraire trouve réponse agressive. «Voyez avec l’Haj, c’est à lui de vous expliquer», répond Mohamed. Passé Tétouan, l’autocar s’arrête dans un village où le staff se restaure gratuitement dans sa gargote habituelle. Arrivée à Tanger vers 13h. Le chauffeur refuse d’aller jusqu’à la gare routière malgré la colère des passagers. Certains menacent de faire appel à la police. Le chauffeur n’en fait qu’à sa tête. Ses acolytes ordonnent à tout le monde de descendre. Attirés par l’arrivée d’un autocar de «l’Kharij», porteurs, mendiants et taxis se précipitent sur le véhicule. En quelques secondes, la soute à bagages est encerclée. Comme à la criée, Saïd et Mohamed sortent les bagages pêle-mêle et appellent les voyageurs pour identifier leurs sacs et valises, les mettre en lieu sûr ou se les faire porter à l’intérieur de la gare. La foule devient tellement nombreuse qu’on ne distingue plus les passagers des intrus. Les bagages entassés devant l’autocar font penser à une vente aux enchères. Le spectacle est désolant. La criée terminée, tout le monde se dirige à l’intérieur de la gare. L’autocar dans lequel on doit finir le voyage part dans une heure. Fatigués, affamés et surtout dégoûtés, les voyageurs veillent sur leurs bagages. Un moment d’inadvertance peut coûter cher. Après près de deux heures, l’autocar sort de la gare. Les gens étouffent de chaleur à l’intérieur. Les voyageurs n’ont même plus la force de protester. Seul objectif: arriver chez eux et dormir. La prochaine visite au bled est renvoyée aux calendes grecques. L’autocar fait escale à Assilah, Larache, Kénitra et Salé. De Rabat à Casa, le chauffeur a même jugé utile de «chasser» des places à gauche et à droite, question de se faire un peu d’argent. On arrive à la gare Ouled Ziane de Casablanca à 21h. Epuisés, les voyageurs on vécu un véritable cauchemar… qu’ils ne sont pas près d’oublier.
Mohamed AKISRA
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